quarta-feira, 30 de setembro de 2009

Il semble que quelqu'un ait convoqué l'espoir
Les rues sont des jardins, je danse sur les trottoirs
Il semble que mes bras soient devenus des ailes
Qu'à chaque instant qui vole je puisse toucher le ciel
Qu'à chaque instant qui passe je puisse manger le ciel.

[...]
Et le bruit du chagrin s'éloigne lentement,
et le bruit du passé se tait tout simplement.

Nenhum comentário:

Postar um comentário